mardi 13 mars 2018

Notre chronique de

Docteur Radar
Paris, 1920. As de la voltige pendant la première guerre mondiale, Ferdinand Straub œuvre désormais en tant que détective privé. Notre homme a d’ailleurs fort affaire depuis que les scientifiques Vernon, Vaillant et Saint-Clair ont tous été retrouvés assassinés. Des morts tout sauf anodines aux yeux du fin limier puisque que chacun d’entre eux travaillait à une idée révolutionnaire : la conquête de l’espace. Alors qu’il tente de joindre Emile Lenoir, un des collaborateurs de Saint-Clair, Straub ne peut empêcher un nouvel assassinat. Le malheureux intellectuel avait rendez-vous avec un certain Docteur Radar qui n’a laissé derrière lui que barbe et lunettes postiches… Flanqué de Pascin, peintre perspicace, Straub tient une piste qu’il n’est pas près de lâcher ! Hommage au « Fantomas » créé par Pierre Souvestre et Marcel Allain, Docteur Radar est un concentré d’aventures trépidantes sur fond de mégalomanie et de projets totalitaires. De l’action donc rehaussée comme il se doit par le dessin de Frederic Bézian anguleux, nerveux et très élégant à la fois. Deux tomes menés tambour battant ! (Matthieu)

Docteur Radar de Noël Simsolo et Frédéric Bézian, Glénat, 2 volumes disponibles, 20,50€/p. (21,50)
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